La Situation Actuelle des Organisations des Droits de l'Homme en Afrique Sub-Saharienne

Nigeria


LE CONTEXTE

Bien que les violations des droits des l'homme au Nigéria soient ordinaires sous la règle militaire, 1993 était une année particulièrement défiante pour les groupes nigériens des droits de l'homme. L'ancien Président Général Ibrahim Babangida a annulé les résultats d'une élection présidentielle, qui aurait amené le pays à la règle civile, et a installé un gouvernement intérim. Au milieu de novembre, le Ministre de Défense Général Sani Abacha a forcé le gouvernement intérim à démissionner, causant le septième coup d'etat depuis l'indépendance de Nigéria. Le régime a interdit toutes les associations et les réunions politiques. Aucun horaire n'était établi pour le retour à la règle civile.

A travers cette crise, la communauté des droits de l'homme s'est jointe sous une coalition appelée la Campaign for Democracy (Campagne pour la Démocratie) (CD). Les émeutes ont explosé à Lagos au début de juillet 1993 et le régime a détenu une centaine de contestataires pendant un mois. La CD a demandé des démonstrations et des grèves supplémentaires. Des abus de droits pendant cette période étaient répandus, y compris des attaques sur une base ethnique, des meurtres de démonstrateurs, des détentions d'activistes et de journalistes, et d'interférence avec la liberté d'expression et d'association. La presse nigérienne, connue d'être franche, était houspillée encore plus par les pouvoirs du gouvernement pendant la crise politique. Le gouvernement a fermé plusieurs maisons de magazines.

Les abus par des membres des forces de sécurité et de police restent un problème persistant des droits de l'homme. Il y a des cas fréquents d'harcèlement et des meurtres extra-judiciaires par des protecteurs de l'ordre. Les conditions épouvantables de prison ont aussi été soulignées par la communauté des droits de l'homme.

Les abus ont lieu aussi contre les Ogoni, un groupe de minorité qui habite la région productrice de pétrole de Rivers State. Ils ont protesté la destruction de leur terres et culture par des entreprises pétrolières multinationales et des forces militaires nigériennes. Par suite, des centaines d'Ogonis ont été tuées dans des attaques crues d'être sanctionnées par les pouvoirs du gouvernement.

Le Nigéria a une divers et grande communauté des droits de l'homme qui a fait sentir sa présence à travers la nation, particulièrement avec la création de la CD. Beaucoup d'activistes des droits de l'homme et d'organisations au Nigéria ont affronté l'harcèlement sans cesse pendant l'ancien régime de Babangida. Ces attaques ont intensifiées après la décision de Babangida en novembre 1992 de différer la transition à la règle civile. Le gouvernement a arrêté et harcelé un nombre d'activistes des droits de l'homme. Les bureaux de certaines organisations des droits de l'homme plus franches ont été le sujet d'entrées forcées de la police et de la saisie de matières. La crise politique a résulté dans le détournement du personnel et des ressources d'un nombre d'organisations des droits de l'homme vers la création de la coalition Campaign for Democracy; comme résultat, d'autres projets ont été différés. Dans le cas du Committee for the Defence of Human Rights (Comité pour la Défense des Droits de l'Homme), le personnel de l'organisation, les bureaux et les ressources été complètement engouffrés par la CD.

Les organisations des droits de l'homme ont adopté diverses approches à leur travail, et le gouvernement est moins susceptible d'interférer avec ceux qui n'ont pas publiquement critiqué le gouvernement ou dont le mandat est purement le travail d'éducation des droits de l'homme. Il y a un nombre de groupes de sensibilisation et de plaidoirie, telle que la Civil Liberties Organisation (Organisation de Libertés Civiques) (CLO), le Constitutional Rights Project (Projet de Droits Constitutionnels) (CRP), le Committee for the Defence of Human Rights (Comité pour la Défense des Droits de l'Homme) (CDHR), et l'Institute of Human Rights and Humanitarian Law (Institut des Droits de l'Homme et de Droit Humanitaire) (Port Harcourt), qui dirigent des campagnes, des enquêtes et le travail de documentation. D'autres organisations produisent des matières et organisent des séminaires pour relancer la sensibilisation. Celles-ci incluent le National Institute for Advanced Legal Studies (Institut National pour les Etudes Juridiques Avancées) (NIALS), Human Rights Africa (Droits de l'Homme d'Afrique) et le Legal Research and Resource Development Centre (Centre de Développement des Ressources et de Recherche Juridique). En outre, il y a des organisations qui réunissent des groupes avec des intérêts communs, tels que Women in Nigeria (Femmes au Nigéria), le Movement for the Survival of the Ogoni People (Mouvement pour la Survie du Peuple Ogoni), et la National Association of Democratic Lawyers (Association Nationale d'Avocats Démocratiques), qui s'addressent aux problèmes des droits de l'homme.

Il y a eu certaines tentatives de créer organisations régionales, en particulier, Human Rights Africa et la Ethnic Minority Rights Organization of Africa (Organisation d'Afrique pour les Droits des Minorités Ethniques, évoluant du Mouvement pour la Survie du Peuple Ogoni). Aucune des deux organisations a réussi à se distinguer dans le continent entier, mais les deux sont reconnues comme des groupes domestiques des droits de l'homme au Nigéria. Le CLO, malgré sa charactère non-régionale, a essayé d'adresser le besoin pour le contact plus régional en créant une division dans l'organisation, appelée le Groupe africain de contrôle, pour augmenter le contact et la sensibilisation de développements des droits de l'homme dans le continent entier.

Il y a une connaissance de haut niveau des normes des droits de l'homme parmi beaucoup d'organisations des droits de l'homme. Conformément, les rapports des droits de l'homme qui sont produits sont souvent de haute qualité et comprennent des références aux normes des droits de l'homme nationaux et internationaux. Les rapports produits par le CLO et le CRP peuvent être employés comme un modèle pour d'autres organisations dans la domaine des enquêtes, de documentation d'abus, d'emploi des normes des droits de l'homme internationaux et domestiques, et même pour la typographie et la reliure.

Un nombre de groupes nigérians a crée des structures institutionnelles fortes, avec des mandats étroitement définis et des structures internes de personnel ainsi que des plans de programme. Tandis qu'il y a toujours des douleurs croissantes dans beaucoup de ces groupes, cette sorte de procédé de planification a résulté dans le fait que la communauté nigérienne des droits de l'homme est avancée plus que ses voisins anglophones en mettant des institutions des droits de l'homme en place.

LES ORGANISATIONS DES DROITS DE L'HOMME

Centre for Advanced Social Studies
(Centre pour les Sciences Sociales Avancées)
(CASS)

Histoire

Le Centre for Advanced Social Studies (CASS) a été formé en 1992 et est basé au Port Harcourt. On a l'intention d'ouvrir deux autres branches, l'une pour l'Afrique de l'est et méridionale, l'autre pour l'Afrique de l'ouest et centrale francophone.

Mandat

CASS est un groupe de spécialistes concerné à l'amélioration de la gestion et la politique publique en Afrique.

Structure

Le Centre a un Conseil d'Administrateurs et est gouverné par un Conseil d'Administration International.

Programme

Les domaines de recherche de CASS sont la politique publique, le gouvernement et la démocratisation, et le système international. Le Centre dirige des séminaires et des sessions de formation.

Civil Liberties Organisation
(Organisation de Libertés Civiques)
(CLO)

Histoire

Etablie en 1987, la Civil Liberties Organisation (CLO) est une des plus grandes organisations des droits de l'homme au Nigéria.

Mandat

La CLO est une organisation non-gouvernementale établie pour la défense et l'expansion des droits de l'homme et des libertés civiques.

Structure

La CLO est une organisation de membres avec seize branches d'état en dehors de Lagos. Elle a 23 effectifs et est dirigée par un Conseil Consultatif National et un Conseil de Gouverneurs. L'organisation est divisée en les domaines de projet suivantes: le litige; la police et le prison; les droits de femmes; l'expansion nationale (des membres); le rapport annuel; la campagne et l'habilitisation [séminaires, participation CD, magazine Liberty (Liberté)]; l'action écologique (dans des régions productrices de pétrole); la documentation et la recherche; le centre de ressource; le groupe africain de contrôle; l'éthique dans le gouvernement.

Programme

La CLO enquête sur des abus des droits de l'homme et campagne par le litige, les publications et les communications avec le gouvernement de la part des gens dont les droits ont été abus. La CLO publie un magazine trimestriel, entitulé Liberty (Liberté), et un Journal of Human Rights Law and Practice (Journal du Droit des Droits de l'Homme et du Pratique). Son projet de prison a produit deux rapports majeurs sur les conditions de prison et un nombre de publications plus petites. Elle a aussi publié un nombre de rapports sur la brutalité de la police, les décrets militaires, l'impunité du gouvernement, la peine de mort et des rapports annuels sur la situation des droits de l'homme au Nigéria. Son projet des services juridiques a représenté plus de 4.000 victimes indigentes d'abus des droits de l'homme. L'organisation entreprend aussi l'éducation des droits de l'homme par son projet d'habilitisation, dirigant des bureaux de conseils et des séminaires sur les problèmes de droits. L'organisation est extrêmement active en lobbyant le gouvernement par la dialogue et la censure publique et lance des campagnes pour terminer les abus spécifiques du gouvernement.

Committee for the Defence of Human Rights
(Comité pour la Défense des Droits de l'Homme)
(CDHR)

Histoire

Le Commitee for the Defence of Human Rights (CDHR) a été formé en 1989 en réponse à la détention du syndiqué Femi Aborishade. Après, l'organisation a évolué à une organisation des droits de l'homme.

Mandat

Les objectifs du CDHR sont de:

- promouvoir, défendre et soutenir les droits de l'homme fondamentaux;

- établir un système d'assistance efficace et prompte pour des personnes nécessiteuses dont les droits de l'homme sont violés; et

- collaborer avec d'autres organisations engagées pour obtenir une démocratie participatoire et la justice sociale.

Structure

L'organisation a plus de 2.000 membres et 19 branches d'état. La branche nationale est dirigée par un Comité Exécutif National et chaque branche d'état a son propre Comité Exécutif. Il y a trois effectifs à temps plein.

Programme

L'organisation porte plainte de la part des gens dont les droits ont été violés. Elle a aussi lancé des campagnes contre la détention sans procès, les meurtres extra-judiciaires et des programmes d'ajustement structural. CDHR produit aussi une circulaire trimestrielle et un rapport annuel sur les violations des droits de l'homme au Nigéria.

Constitutional Rights Project
(Projet de Droits Constitutionnels)
(CRP)

Histoire

Le Constitutional Rights Project (CRP) a été établi en 1990.

Mandat

Les objectifs de l'organisation sont d'assurer que la législation nigérienne se conforme avec les normes internationales; contrôler les institutions dont les activités ont un impact sur les droits des citoyens; et fournir l'assistance juridique aux victimes d'abus des droits de l'homme.

Structure

CRP est dirigé par un Conseil d'Administration avec un comité de gestion. Le personnel de recherche exécute des projets de recherche et le personnel de litige est responsable pour les cas juridiques.

Programme

Parmi d'autres activités, le Projet a litigé de nombreux cas, a conduit des campagnes, a organisé des séminaires et a adressé les problèmes d'application de caution et la liberté d'expression, l'administration de la justice, et les pratiques de la police. Il publie un journal et une circulaire en plus d'un nombre de rapports des droits de l'homme.

Ethnic Minority Rights Organization of Africa
(Organisation d'Afrique pour les Droits des Minorités Ethniques)
(EMIROAF)/
Movement for the Survival of the Ogoni People
(Mouvement pour la Survie du Peuple Ogoni)
(MOSOP)

Histoire

MOSOP a été établi en 1990 pour protester les violations des droits de l'homme qui avaient lieu contre le peuple Ogoni, un groupe de minorité qui habitent la région productrice de pétrole de Rivers State. EMIROAF a été formée en dehors du MOSOP. A présent, EMIROAF est une ONG plutôt nigérienne que régionale.

Mandat

EMIROAF est une organisation consacrée à la recherche dans les domaines des droits de l'homme et de protection écologique parmi les gens ethniques, de minorité, indigènes et tribaux en Afrique. L'objectif d'EMIROAF est de protester contre la destruction de la terre et de la culture Ogoni par des entreprises pétrolières multinationales et les forces militaires nigériennes.

Structure

EMIROAF est une organisation de membres avec 35 membres du personnel à temps plein.

Programme

L'organisation publie une circulaire mensuelle et organise des campagnes publiques de sensibilisation sur la misère du peuple Ogoni.

Human Rights Africa
(Droits de l'Homme d'Afrique)

Histoire

Human Rights Africa est une organisation internationale établie en 1988 pour adresser les problèmes des droits de l'homme d'une perspective africaine.

Mandat

L'organisation partage son travail en trois divisions: l'éducation, les droits civiques et politiques, et les droits culturels, sociaux et économiques.

Structure

Human Rights Africa a six membres du personnel supérieurs et a plus de 800 membres. Il a trois Conseils, qui incluent un Conseil de Fondateurs, un Conseil Africain de Conseillers, et un Comité Consultatif International.

Programme

La plupart des activités de Human Rights Africa ont été basées au Nigéria. Son travail régional a inclus une enquête et un rapport des droits de l'homme sur la situation en Ethiopie, des carrefours de formation pour les leaders d'Afrique de l'ouest et des fonctionnaires locaux de gouvernement, et l'assistance en établiant la Commission Africaine des Promoteurs des Droits de l'Homme et de la Santé basée au Ghana. L'organisation donne un prix annuel pour service africaine.

Human Rights Monitor
(Contrôle des Droits de l'Homme)

Histoire

Le Human Rights Monitor est une organisation à Kaduna qui a été commencée en janvier 1993 par environ 15 gens en réponse au besoin pour un corps des droits de l'homme dans le nord dont la siège n'était pas à Lagos.

Mandat

Le but de l'organisation est d'adresser les problèmes des droits de l'homme dans le nord de Nigéria.

Structure

Le Human Rights Monitor a trois membres du personnel à temps plein, et est une organisation avec à-peu-près 50 membres.

Programme

L'organisation a intenté des procès avec le CLO et a émis des publications jointes avec le CLO sur les problèmes des droits de l'homme dans le nord. L'organisation finance toutes ses activités soi-même et conformément ses activités ont été entravées.

Institute of Human Rights and Humanitarian Law
(Institut des Droits de l'Homme et de Droit Humanitaire)
(IHRHL)

Histoire

L'Institute of Human Rights and Humanitarian Law (IHRHL) a été établi au Port Harcourt en 1993 par un ancien employé du CLO.

Mandat

L'IHRHL porte sur la plaidoirie et l'éducation des droits de l'homme sur les questions spécifiques à la région du Port Harcourt de Nigéria.

Structure

L'IHRHL est une organisation de membres avec trois effectifs à temps plein.

Programme

L'organisation a été entravée par un manque de financement, mais a été capable de publier de nombreux articles sur les problèmes des droits de l'homme dans la presse locale, d'instruire les droits de l'homme dans les écoles et de faire quelque travail des services juridiques. Elle est intéressée à créer un programme parajuridique.

Legal Research and Resource Development Centre
(Centre de Développement des Ressources et de Recherche Juridique)
(LRRDC)

Histoire

Le Legal Research and Resource Development Centre (LRRDC) a été établi en 1990.

Mandat

Le mandat de LRRDC est d'agir comme une catalyseur dans la promotion de l'éducation des droits de l'homme par la recherche, l'enseignement, l'échange d'idées et le développement de ressources humaines au Nigéria.

Structure

Le Centre est gouverné par un Conseil d'Administrateurs assisté par un Conseil Consultatif académique et un Conseil Administratif. Il y a dix effectifs à temps plein.

Programme

La recherche du Centre est divisé en quatre catégories majeures: la loi comme instrument de développement; les besoins de femmes dans le Tiers Monde; l'éducation des droits de l'homme; et l'accès aux services juridique. Le Centre publie des matières de sensibilisation juridique sur les lois domestiques visées à la communauté rurale, aux fonctionnaires de gouvernement et aux enfants d'école. Il visite aussi des prisons et réfère des cas à d'autres organisations de plaidoirie si nécessaire. Il y a un petit centre de documentation dans le bureau. Le Centre essaie aussi de créer un programme parajuridique.

National Association of Democratic Lawyers
(Association Nationale d'Avocats Démocratiques)
(NADL)

Histoire

La National Association of Democratic Lawyers (NADL) a été créée en 1983 en réponse au nouvel établissement du gouvernement militaire de Buhari et l'inaction perçue de l'Association nigérienne d'avocats. Elle a été établie comme une filiale de l'Association Internationale d'Avocats Démocratiques basée à Bruxelles.

Mandat

Le but de NADL est de fournir des services juridiques et de conduire des campagnes contre les violations des droits de l'homme.

Structure

NADL est une organisation de membres avec à-peu-près 6.000 avocats, avec 15 branches. Tous les gérants des bureaux sont des volontaires.

Programme

NADL porte plainte de la part des groupes désavantagés; défie des décrets militaires dans les cours et dans ses campagnes; et défend les provisions des droits fondamentaux de la Constitution et mène des campagnes pour la règle démocratique au Nigéria. L'organisation fournit les services juridiques et amène le litige à l'intérêt public. Il a aussi dirigé des campagnes contre la peine de mort, la détention illégale et l'interdiction d'organisations. Il publie une circulaire.

National Institute for Advanced Legal Studies
(Institut National pour les Etudes Juridiques Avancées)
(NIALS)

Histoire

NIALS est une organisation formée en 1979 comme un institut pour l'Université de Lagos. En 1984 elle est devenue autonome, mais sous la supervision du Ministère de Justice. Elle reçoit des fonds du Ministère, mais fonctionne indépendamment.

Mandat

Le mandat de l'Institut est la recherche juridique et l'éducation légale constante pour les practiciens.

Structure

Il y a six membres du personnel.

Programme

NIALS parraine des classes d'instruction juridique permanente pour les practiciens, les juges et les magistrats ainsi que des carrefours de formation pour la police et les fonctionnaires de prison. Elle organise des séminaires et des congrès, et dirige l'étude concentrée dans certaines régions telles que les droits de l'homme et l'administration de justice, et les droits de l'enfant.

Women in Nigeria
(Femmes au Nigéria)
(WIN)

Histoire

Women in Nigeria est une organisation nationale établie en 1983.

Mandat

Le but de WIN est d'organiser et d'améliorer la condition des femmes nigériennes dans toutes les régions.

Structure

WIN est une organisation de 8.535 membres avec des bureaux dans 22 états. Chaque bureau détermine son programme et ses priorités en consultation avec le bureau national. L'Exécutif National a sept Officiers nationaux.

Programme

WIN organise des congrès annuels sur les problèmes de femmes, produit des publications et parraine des campagnes sur les problèmes qui concernent les femmes. Elle fournit les services juridiques aux femmes indigentes. WIN est active en opposant des programmes d'ajustement structural et a aussi accepté le problème de projets de générer le revenu pour les femmes. Elle était le seul groupe de femmes à joindre la coalition CD en appelant le changement politique.

- Binaifer Nowrojee


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